ChroniCoeurs

mercredi 23 juillet 2014

"A kiss in the dark" de Cat Clarke


A KISS IN THE DARK


Auteur : Cat Clarke




Résumé :


Le nouveau roman événement de Cat Clarke.
L'amour peut-il survivre au plus gros des mensonges ?
Un roman qui vous fera revivre les délices et les frissons de votre premier amour.

Lorsqu'Alex et Kate se rencontrent, l'attirance est immédiate.
Il a de l'humour, il est beau et un brin timide : tout ce que Kate recherche chez un petit ami.
Elle est jolie, craquante, avec un irrésistible soupçon de naïveté : Alex ne peut résister à son charme.
L'un des deux cache pourtant un lourd secret qui va non seulement peser sur leur amour naissant, mais aussi menacer leurs vies...





lundi 21 juillet 2014

"Je suis sa fille" de Benoît Minville

JE SUIS SA FILLE

Auteur : Benoît Minville

 
 
Résumé :
 
C'est l'histoire de Joan, qui a été élevée par son père sur fond de hard rock et de westerns.
C'est l'histoire du père de Joan, un visage de plus écrasé par le Grand Capital.
C'est l'histoire de Hugo, le meilleur ami de Joan, qui décide de l'accompagner quand elle hurle :
Il faut que ça change ! Je veux que ça s'arrête ! On va tuer le grand patron !
Deux ados embarqués dans un road-trip ébouriffant, sur la N 7, direction Nice...
Ils ne savent pas ce qui les attend. L'aventure. L'amour. Les rencontres.
Fuck la crise, vive la vie !
 
 
 

mercredi 16 juillet 2014

"Chroniques d'une humanité augmentée" de Pascal Bléval


Chroniques d’une humanité augmentée (recueil)

Auteur : Pascal Bléval


Résumé :

Julien Sciarmozzi a un problème. Un gros. Quelque chose cloche dans sa tête, il a comme des absences inexplicables. À moins que ce ne soit la réalité qui se trompe ? Nicolas ne se conçoit qu’au travers des réseaux sociaux. Est-ce dans le but de combler un manque affectif, ou pour une raison autrement plus sérieuse ? Et que dire de Marc, cet homme immergé dans un monde où chacun ne jure plus que par l’apparence virtuelle — en réalité augmentée — de ses collègues ?
Perdus dans le mince interstice séparant le monde réel de l’univers virtuel, les personnages de ce recueil nous entraînent dans leur sillage…


Oserez-vous franchir les limites du réel en leur compagnie ?



Mon avis :

Après un court rappel du mythe de la caverne de Platon (oui, un petit rappel ne fait jamais de mal pour rafraîchir sa mémoire), l’auteur nous plonge dans ses différentes nouvelles. Dégustation possible les unes à la suite des autres ou alors en picorant.
Le tout forme une saga axée autour de la filiation des Sciarmozzi.


Bref, tout commence par la nouvelle "Réparations" où l’on suit un personnage prénommé… bon il ne s’en souvient plus, sa mémoire est comme criblée de trous noirs. On jugera rapidement ce Julien Sciarmozzi, victime de lendemain de soirée. Et ce uniquement par la description qui nous en est donnée. Puis, progressivement, le lecteur est obligé de se poser des questions sur cet état qui devrait normalement s’estomper au fil des heures. Mais non, c’est même le contraire, on en vient à avoir de la peine pour ce personnage. Et c’est dans cette ambiance troublante, presque oppressante, que l’inquiétude nous gagne. Car oui, ce n’est peut-être pas du fait des boissons alcoolisées qu’il est ainsi. La révélation qui est amenée par cette nouvelle nous conduit au bord d’un précipice dans lequel j'ai sauté tête la première.


L’auteur nous fait nous dématérialiser pour nous entraîner plus profondément dans les pages de son recueil.


Les nouvelles sont entrecoupées "d’Interstices" qui nous permettraient de remonter à la surface et nous autoriser une goulée d’air, mais c’est sans compter sur le machiavélisme de Pascal Bléval qui nous l’interdit. Car oui, ces interstices nous laissent voir le monde sous un angle différent et nous entravent plus encore dans l’incertitude de la finalité. Je ne vous parlerai pas des autres nouvelles puisqu'elles "découlent" de la première. Je vous donne juste les titres : "Cryo-Farm", "Humanité augmentée", "Corpus modificandis" et la "conclusion".


Je ne saurais que trop vous conseiller de succomber à ce recueil, version numérique. Ces nouvelles de SF en extrapolant et/ou en grossissant le trait de certaines choses mettent en lumière les travers de notre société.
Il y a également un bonus proposé dans ce recueil. Il s’agit d’un extrait de "Le chant de l’arbre-mère", la prochaine parution de Pascal Bléval.


Sur ce, je vous abandonne, je vais me refaire un petit shot de "Chroniques d’une humanité augmentée".

 Fred

Format Kindle : 68 pages
Prix : 1.60 euros
Pour vous l'offrir c'est par ici
Pour découvrir la page de l'auteur, c'est pas  

lundi 14 juillet 2014

"Blanche comme le lait, rouge comme le sang" d’Alessandro D’Avenia

BLANCHE COMME LE LAIT, ROUGE COMME LE SANG

Auteur : Alessandro D’Avenia

 
Résumé :
 
Leo est un adolescent de seize ans comme tant d’autres : il aime ses copains, le foot, les virées en scooter, et vit en symbiose parfaite avec son iPod. Les heures de cours sont pour lui une torture, et les professeurs constituent « une espèce protégée qui, on l’espère, s’éteindra définitivement ». Ainsi, lorsque se présente un nouveau remplaçant d’histoire et de philo, il n'en attend rien de bon. Mais le jeune professeur est différent : une lumière brille dans ses yeux quand il explique, quand il incite les élèves à vivre intensément, à poursuivre un rêve.
Leo sent en lui la force d’un lion, mais il a un ennemi effrayant : le blanc. Le blanc, c’est l’absence ; dans sa vie, tout ce qui concerne la privation et la perte est blanc. Le rouge, en revanche, est la couleur de l’amour, de la passion, du sang. Les cheveux de Beatrice sont roux. Oui, car Leo a un rêve qui se nomme Beatrice, même si elle l’ignore encore. Leo a aussi une réalité, plus proche et, comme toutes les présences proches, difficile à distinguer : son amie Silvia. Leo découvre que Beatrice est malade et que sa maladie est en rapport avec ce blanc qui l’effraie tant. Il lui faudra creuser en lui, saigner et renaître pour comprendre que les rêves ne peuvent pas mourir et trouver le courage de croire en quelque chose de plus grand.
 
Se fondant sur une relecture moderne et vitale de la grande tradition classique, D’Avenia s’allie avec le jeune professeur de lycée - métier de l’auteur - pour offrir énergiquement au lecteur plus ou moins jeune des réponses qui, comme toutes les réponses vraies, ne se veulent pas définitives, mais ne sont ni hésitantes ni résignées.
 
 
 

jeudi 10 juillet 2014

"Angelfall – Tome 1 Penryn et la fin du monde" de Susan EE

ANGELFALL - TOME 1 PENRYN ET LA FIN DU MONDE

Auteur : Susan EE

 
 
Résumé :

Les anges ne sont pas ce que l'on croit. Ils détruisent le monde, éradiquent l'espèce humaine.
Dans San Francisco dévasté, Penryn, 17 ans, doit sauver sa jeune sœur, enlevées par ces monstres. Sa seule solution : forcer l'un d'eux à l'aider...
Raffe, privé de ses ailes, voit dans cette alliance contre-nature, son dernier espoir. Une feune femme et son pire ennemi se trouvent liés malgré eux.
Une relation dangereuse... Mais jusqu'à quel point ?